Épice pour étrangers

Après le déjeuner, je me suis promené autour de la ville, et je suis allé dans un café. C’est un café géré par un couple indien, mais il y a une serveuse japonaise. Elle m’a dit qu’elle avait essayé un Banh Mi, un sandwich Vietnamien, que je lui avait recommandé la semaine dernière. Elle a aimé le resto en gros, mais dit que « je ne pouvais pas manger la coriandre ».
À Vancouver, il y a beaucoup de restaurants viennent de pays différents. On peut essayer les plats europeans, asiatiques, américains… mais on ne peut pas éviter les épices et les herbes. Pour moi, j’adorais les plats épicés même quand j’habitais au Japon, alors ce n’est pas un problème, pas du tout. Mais aussi, j’ai entendu dire que beaucoup de gens qui viennent du japon ne peuvent pas s’habituer à ce type de recette, ça fait la vie à Vancouver un peu difficile pour eux.
Peut-être que j’était très chanceux que nous ne craignons pas les plats épicés. J’ai pensé comme ça, pendant le dîner que ma femme a fait, en ajoutant beaucoup d’épices japonaises.